dimanche 1 novembre 2009

CORREO 58 - NOVEMBRE 2009.

CORREO de LOS AMIGOS DE ESPAÑA
3 Rue Yves de Kerguélen - 56000 Vannes. ( 02.97.40.72.40.
http://monsite.wanadoo.fr/amigos.de.espana * amigos.de.espana@gmail.com
Blog: http://amigosdeespana.blogspot.com/
------------------------------------------------------------------------------------------------- SEMAINE DE SOLIDARITE INTERNATIONALE:
Dans le cadre de la Semaine de Solidarité Internationale, en partenariat avec plusieurs associations du Pays de Vannes dont l'ACEAP qui en assure la coordination, nous proposons:


Mercredi 18 novembre à 18h30
au Chateau de l'Hermine,
le film de Jawal Rhalib: "EL EJIDO ou LA LOI DU PROFIT".


Espagne, Almeria province côtière de l'Andalousie et ancien désert transformé, en 20 ans, en la plus importante concentration de culture sous serres au monde. Le potager artificiel de l 'Europe été comme hiver. En février 2000, à El Ejido, son chef-lieu, a eu lieu un véritable pogrom: l'assassinat d'une espagnole et l'arrestation de son meurtrier marocain, vont mettre le feu aux poudres. La population espagnole a fait la chasse à la communauté immigrée, à ses journaliers clandestins ou en voie de régularisation qui hantent les serres...
6 ans après, rien n'a changé. Ou bien si, Equatoriens, Colombiens, Lithuaniens, Roumains et, nouveauté, des Russes ont rejoint Marocains, Maliens, Sénégalais et l'internationale de la misère. Ils fuient la misère de leurs contrées et viennent s'agglutiner par dizaines de milliers dans cet " eldorado " que représente El Ejido et ses 17.000 hectares de terre bâchée. Mais le rêve est rarement au rendez-vous, l'Eldorado Européen se transforme très vite en enfer. Qu'arrive-t-il à ces immigrants? Ils vivront leur futur de clandestins et rien ne sera comme auparavant. Cette condition exalte un autre drame déjà présent dans leur existence: l'éloignement. Entre la colère, les désillusions, le découragement, la peur de se laisser aller et de ne pas y arriver, les immigrants constatent que le seul chemin à parcourir est de s'adapter à la nouvelle situation et de ne surtout pas céder à l'appel du pays. "El Ejido, la loi du profit" nous montre leur réalité, un modèle jusqu'à la caricature du système d'exploitation industrielle des êtres humains et de la terre qu'impose la mondialisation. C'est l'histoire de la dégradation des conditions de vie, de l'environnement et des rapports humains.
Entrée libre.
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SEMAINE DE SOLIDARITE, MOIS DU DOC ...

En novembre, pas le temps de s'ennuyer, les associations amies vous proposent un bouquet de conférences, films, animations, sur le thème de la solidarité ...
* Vendredi 13, IUT, 20h30: conférence de Patrick Viveret: "les enjeux d'une solidarité émancipatrice",
* Samedi 14, centre ville et port, 14h: animations avec de jeunes musiciens locaux.
* Samedi 14, Centre Henri Matisse, 17h30: contes d'ici et d'ailleurs (CCFD).
* Mardi 17, 20h30, Librairie "Amis de la BD", rue Hoche: Café citoyen " Citoyen et solidarité internationale" (LDH).
* Mercredi 18, 18h30, Chateau de l'Hermine: film "El Ejido" (Amigos).
* Jeudi 19, IUT, 14h30: conférence de JP Le Bacon: "déveloTourisme international et développement" (UTA et ATM).
* Jeudi 19, IUT, 16h30, Forum Jeunes "Que représente pour vous la solidarité internationale?" ( MdE, ATM).
* Vendredi 20, Le Dome, St Avé, 20h30, Théatre: "Une femme entre deux cultures" (ACEAP, ESF)
* Samedi 21, restaurant municipal arradon, 19h, Repas solidaire "A la rencontre de l'Amérique Latine" (ATM).
* Dimanche 22, 14h, Arradon, marche solidaire, (ABADAS, ATM).
* Du 14 au 21 à Séné, expo: "Huit fois Oui", (Emmaus, CCFD, Dialaya).
* Du 17 au 21, médiathèque arradon, expo "La terre est ma couleur" (ATM).
CINECRAN propose:
* Samedi 14, 15h, IUT, "No comment" de Nathalie Loubeyre.
* Lundi 23, 20h30, La Garenne): "En terre étrangère" de Christian Zerbib, (payant).
* Du jeudi 17 au mardi 22, La Garenne, " "Let's make money", d'Erwin Wagenhofer, (payant).
* Vendredi 20, 20h30, salle Guého, Theix: "Couleurs lointaines du bonheur" de Françoise et Régis Blanchard.
* Vendredi 227, 20h30, LeTriskell, Ploeren, " Voie peule" de Sylvain Vesco".
* Du jeudi 26 au mardi 1er décembre, La Garenne, "Les enfants de Don Quichotte" de Ronan Dénécé et Augustin Legrand (payant).
LES ARTISANS FILMEURS ASSOCIES proposent gratuitement:
* Jeudi 12 à 20h30, Maison de Quartier Kercado, "Cyndi rêve d'argent" de Frédéric Compain.
* Jeudi 19 à 20h30, Centre Henri Matisse Ménimur, "La double face de la monnaie" de Jérome Polidor.
* Jeudi 26, à 20h30, Centre Henri Matisse, "Manhattan charity" de Florence Martin-Kessler.
* Jeudi 3 décembre, bar "Vieux Trussac" 20h30, "L'argent raconté aux enfants" de Claudia Pazienza.
Et tous les programmes sur:
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VENDREDI 27 NOVEMBRE A 18 heures,
Maison de Quartier de Kercado, Place de Cuxhaven:
ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIRE ET ORDINAIRE:

* modifications des statuts,
* bilan de l'année écoulée et projets,
* bilan financier et budget prévisionnel,
* élection au Conseil d'Administration.
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GUITARRAS Y MANDOLINAS:


Del 9 al 12 de julio, en Remiremont (Vosges) tuvo lugar el 7e festival internacional de plectro e instrumentos de cuerdas.
Diez nacionalidades estaban representadas: Alemania, Bulgaria, Croacia, Eslovenia, España, Hungría, Israel, Italia, Polonia y Francia. Trescientos músicos rivalizaron con un gran entusiasmo en la interpretación de su repertorio, la calidad de las formaciones de plectro así como la densidad de la programación.
España fue representada por la Escuela Rondalla de Requena (Valencia). Los 25 músicos dirigidos por Francisco Martínez Martínez tocaban el laúd, la guitarra, la mandolina. Interpretaron obras de Manuel de Falla, Tomás Bretón, Eduardo Lucena, Maurice Jarre, Federico Moreno Torroba e Isaac Albeñiz.
Este festival internacional se terminó con un concierto extraordinario, los 300 músicos tocando al mismo tiempo el vals n° 2 de Dimitri Chostakovitch.
Por fin, durante estos días hubo una exposición muy interesante, fue la ocasión de homenajear al arte de instrumentos de cuerda de los que los Vosgos permanecen al día de hoy como uno de los últimos bastiones franceses. J. L.B.

COCINA:
La première cocina de l'année s'est déroulée vendredi 16 octobre. Nouvelle formule: ce sont les alumnos du cours de Monique, conseillés par Monique et Henri Perchais, qui se sont chargés de l'organisation et on notamment préparé un marmitako.
Et au dessert, Daniel Le Mare a sorti sa guitare et interprété de nombreux airs largement repris par les convives, dont "La mala reputación" dont vous trouverez le texte ci-après.
Prochaine cocina: vendredi 6 décembre, préparée par le cours de Nicole.

MARMITAKO: este plato tiene su origen en los barcos vascos de pesca. Su nombre proviene de la palabra marmita que es el recipiente donde se preparaba el marmitako a bordo de los barcos. Al ser una receta clásica, existen bastantes variantes. Lo importante es que el guiso resulte más picante y fuerte que soso y que el bonito siempre quede jugoso. Ingredientes para 4 personas:800 gr de bonito limpio de piel y de espinas y partido en cubos, 1 kg de patatas, 2 tomates pequeños pelados y escurridos de agua y semillas, 3 pimientos verdes cortados en juliana, 2 pimientos choriceros, 3 cebollas picadas , 5 dl de vino blanco seco, 1 litro de agua,sal, pimienta, aceite de oliva.
Preparación:

1. Remojar en agua fresca los pimientos. Escaldarlos en agua hirviendo, retirarles la pulpa y reservarlos. 2. Rehogar las cebollas en un poco de aceite de oliva, hasta que empiecen a dorarse. Añadir los pimientos verdes en juliana. Rehogar hasta que empiecen a dorarse. Añadir las patatas en trozos medianos, el vino blanco y un poco de agua templada hasta cubrir las patatas. Salpimentar. Reponer agua si necesario y remover de vez en cuando. 3. Cuando ya estén casi cocidas las patatas, añadimos el tomate hecho puré y la pulpa del pimiento choricero. Dejar cocer unos minutos. 4. Añadir el bonito y dejar 5 minutos más hasta que esté hecho. Tenga en cuenta que el bonito se hace enseguida. 5. Servir tibio y si se desea, espolvorear con un poco de perejil picado.
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LE MEXIQUE A PARIS ....

Teotihuacan, puissante cité de l’Ancien Mexique au déclin brutal et mystérieux, revit jusqu'au 24 janvier au musée du Quai Branly à Paris où sont exposées 450 pièces dont bon nombre n’ont jamais été montrées en Europe et proviennent souvent de fouilles récentes.
Une quinzaine de sculptures monumentales, de magnifiques peintures murales, des masques rituels, des statuettes-offrandes, des céramiques, issues essentiellement des collections mexicaines, sont présentées dans une scénographie adaptée au grand public.
Le nom véritable de cette cité-état, qui dura huit siècles (de 150 avant Jésus-Christ à 650 apr. J.-C.), reste inconnu. Mais les Aztèques, en la redécouvrant plus tard, la baptisèrent « Teotihuacan », « le lieu où naissent les dieux ». A partir de ses pyramides, ils bâtirent un mythe autour de la création du monde qu’ils utilisèrent pour asseoir leur légitimité politique.
Située à une quarantaine de kilomètres de Mexico, la ville accueille chaque année des millions de visiteurs. Pour ceux qui ne se sont jamais rendus au Mexique, l’exposition qui se tient jusqu’au 24 janvier, offre une belle occasion de découvrir cette cité fascinante.
C’est par une sculpture monumentale d’un jaguar montrant les crocs que le visiteur est invité à entrer dans la puissante cité. Emblème du pouvoir politique, ce félin en pierre peinte provient du complexe palatial de Xalla, situé près de la Pyramide du Soleil.
Extrêmement structurée, la ville s’étendait sur 22 km2, autour d’un axe principal, l’Allée des Morts, qui reliait un édifice rituel au nord, la Pyramide de la Lune, à la Citadelle située au sud.
Une grande maquette permet au visiteur d’acquérir des repères avant de se lancer à la découverte de cette ville cosmopolite où vivaient jusqu’à 100.000 personnes. Divisée en quatre quartiers, elle comprenait environ 2.000 ensembles résidentiels. Chaque famille disposait d’un appartement organisé autour d’un patio central.
Les fouilles récentes attestent de son militarisme et de son recours à l’offrande de prisonniers. Des sacrifices humains étaient organisés lors de cérémonies liées à la construction et à l’agrandissement des édifices rituels.
La chute de Teotihuacan reste largement inexpliquée. Vers 550 apr. J.-C., un gigantesque incendie ravagea les principaux temples et habitations de prestige, conduisant à son déclin rapide. Révoltes internes contre le pouvoir? Surpopulation? Invasions étrangères? L’énigme demeure.
Musée du Quai Branly, 37 Quai Branly Paris XVe.
Entrée : 7 €. Site: http://www.quaibranly.fr/
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EL CURSO DE LOS CHIQUITINES:

Caroline, Eva et José ont mis en oeuvre leur projet: ouvrir un espace d'initiation à l'espagnol pour les petits. Sous une forme ludique, en mêlant chants, saynètes, danses, ils pourront se sensibiliser et pour les plus grands, se livrer à l'apprentissage de la langue et des cultures espagnoles.
Les "cours" ont lieu chaque samedi matin de 10h à 11h30 à l'école Sévigné, Rue Le Hellec à Vannes. Déjà une quinzaine d'enfants sont inscrits et de nombreux autres sont attendus.
Si vous avez des jeux, livres pour enfants (en espagnol) dont vous n’avez plus l’usage, ils seront les bienvenus pour agrémenter ces classes juvéniles dans leurs premiers élans castillans. D'avance, merci.
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PACO IBAÑEZ: "LA MALA REPUTACIÓ N":

En mi pueblo sin pretensión
Tengo mala reputación,
Haga lo que haga es igual
Todo lo consideran mal
Yo no pienso pues hacer ningún daño
Queriendo vivir fuera del rebaño;
No, a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe
No, a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe.
Todos todos me miran mal
Salvo los ciegos es natural.

Cuando la fiesta nacional
Yo me quedo en la cama igual,
Que la música militar
Nunca me supo levantar.
En el mundo pues no hay mayor pecado
Que el de no seguir al abanderado.
Y a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe
Y a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe
Todos me muestran con el dedo
Salvo los mancos, quiero y no puedo.

Si en la calle corre un ladrón
Y a la zaga va un ricachón
Zancadilla doy al señor
Y aplastado el perseguidor
Eso sí que sí que será una lata
Siempre tengo yo que meter la pata.
Y a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe
Y a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe
Todos tras de mí a correr
Salvo los cojos, es de creer.

No hace falta saber latín
Yo ya sé cual será mi fin,
En el pueblo se empieza a oir,
Muerte, muerte al villano vil,
Yo no pienso pues armar ningún lío
Con que no va a Roma el camino mío,
No a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe
No a la gente no gusta que
Uno tenga su propia fe
Todos vendrán a verme ahorcar,
Salvo los ciegos, es natural.

Paco Ibáñez, nacido en 1934, es un cantante español, cuya trayectoria artística la ha dedicado casi íntegramente a realizar versiones musicadas de poemas de autores españoles e iberoamericanos, tanto clásicos como contemporáneos.
Esta canción fue traducida al español por Pierre Pascal. Lo que es curioso es que en España se entiende como una canción de protesta social, contra el Ejercito y la Justicia mientras que Brassens criticaba fundamentalmente los "braves gens" (la "gente honrada" que sin embargo no aceptan que otros piensen de manera diferente a ellos) como lo hizo en otras canciones como "L'auvergnat". Se tiene la impresión de que por Brassens, el "enemigo", más que la sociedad es el individuo que permite esta sociedad. Paré él, la verdadera evolución consistiría en ser cada día mejor persona.


Para ver el clip de Paco Ibañez en youtube basta con pinchar:

www.youtube.com/watch?v=7JDCGoK2QCw
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