CORREO
de
LOS AMIGOS DE ESPAÑA
Numéro 121 – Avril 2024.
Maison des Associations - Rue Guillaume Le Bartz - 56000 Vannes.
Tél: 06.89.68.11.45.
http://sites.google.com/site/amigosdeespanavannes amigos.de.espana@gmail.com
Blog: http://amigosdeespana.blogspot.com www.facebook.com/amigosdeespanavannes
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
CARTELERA DE ABRIL :
|
|
Mercredi 10 à 15 heures Maison des Associations SCRABBLE |
|
Vendredi 12 à 19 heures Centre social de Kercado COCINA
RENCONTRE LITTÉRAIRE
AUTOUR D'ALEJO CARPENTIER
ET DE MARIO VARGAS LLOSA
Avec
Jean-Louis COATRIEUX et Albert BENSOUSSAN
Ils sont amis, passionnés par l'Espagne et les Amériques. Jean-Louis Coatrieux, écrivain et chercheur, a publié "Le rêve d'Alejo Carpentier" en deux tomes "Coabana" et "Orinoco" ainsi que "Alejo Carpentier, de la Bretagne à Cuba" (éditions Apogée). Albert Bensoussan, écrivain et universitaire, vient de publier "Mario Vargas Llosa, écrivain du monde" (éditions Gallimard) dont il a traduit toute l’œuvre. Il a reçu, à ce titre, le prix Diálogo 2023.
Samedi 20 avril à 16 heures
Maison des Associations – Vannes
Vente dédicaces d'ouvrages des intervenants. Entrée libre.
10 films dont « Les filles vont bien », « Matria », « O Corno », « 20.000 espèces d’abeilles » ...
Programme complet sur
https://vannes-garenne.cineville.fr/programmes/vannes-garenne
AMBIANCE ESPAGNOLE A LA RESIDENCE EMEIS :
Ce vendredi, des adhérents de l'association "Amigos de España" se sont rendus à la résidence Emeis (ex Orpea) à Cliscouët pour animer une après-midi espagnole.
Après un diaporama évoquant les grandes fêtes espagnoles, Sanfermines, Carnavals, Feria de Séville, Chotis madrilènes .... place aux chants traditionnels et aux danses avec le groupe de flamenco qui a enchaîné sévillanes et bulerias pour le plus grand plaisir des résidents.
Photo de gauche à droite : Clothilde, Marie-Annick, Nicole, Marylène.
Albert Camus : l'Espagne, sa seconde patrie. Écrits journalistiques
Albert Camus (1913-1960) a toujours déclaré avoir une dette avec l'Espagne. Il a même écrit : "Par le sang, l'Espagne est ma deuxième patrie". Son amour pour la terre de ses ancêtres et pour la culture espagnole l'a mené à communier avec l'esprit de Cervantes. Camus fut un Don Quichotte à contre-courant. Écrivain et journaliste, ses articles sur l'Espagne démontrent l'intérêt qu'il a toujours porté sur ce pays dont était originaire sa famille maternelle. Camus, tout comme d'autres écrivains français de l´époque, a soutenu la République peu après le début de la guerre civile. Cet ouvrage relate la relation de Camus avec l'Espagne, au-delà de sa biographie et traitera de ses écrits journalistiques quand il était reporter à Alger jusqu'à ce qu'il devint éditorialiste du prestigieux journal Combat à París.
Editions Apogée 20 euros.
"Mario Vargas Llosa, écrivain du monde" de Albert Bensoussan
«Je partage le quotidien mental de Mario Vargas Llosa depuis cinquante ans. Il m'a fallu assumer ses fantasmes et ses obsessions. En vérité, ce que je n'ai pas vécu, je l'ai rêvé. J'ai habité ses rêves, mettant mes pas dans ceux du grand homme, mimant fraternellement ses gestes, choyant sa voix. Moi, son double, son singe. Son autre moi.»Dans cet essai personnel, Albert Bensoussan interroge cette relation si particulière qui unit l'auteur à son traducteur. Il offre la meilleure synthèse de l'oeuvre du romancier hispano-péruvien, Prix Nobel de littérature et académicien français. Il nous fait redécouvrir les multiples facettes de cet auteur tout à la fois réaliste, politique, fantaisiste, épris de liberté, inlassable contempteur des dictatures latino-américaines. Mario Vargas Llosa nous apparaît comme un véritable classique moderne : un contemporain capital.
"ALEJO CARPENTIER DE LA BRETAGNE À CUBA" de Jean-Louis Coatrieux
“Ses aïeuls bretons, affirmait Alejo Carpentier, faisaient partie d’une longue généalogie demarins, bourlingueurs des côtes d’Afrique à la mer de Chine, de la Méditerranée aux Caraïbes et, selon les temps, soldats du Roi, de l’Empire ou de la République. Pour autant, les indices laissés derrière lui restaient bien maigres et n’ayant aucune prédisposition pour les recherches dans les archives de marine, mes tentatives de percer son secret apparaissaient vouées à l’échec…”
Est-ce le hasard ou la chance ? Un jour Jean-Louis Coatrieux est tombé sur un personnage en Guyane qui peut-être s’en apparentait. Celui dont Alejo assurait détenir, un siècle après, les boutons de manchette. L’auteur a imaginé dès lors son histoire.
=================================================================
=================================================================
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire