jeudi 10 janvier 2019


CORREO      
de LOS AMIGOS DE ESPAÑA
Numéro 137 – Janvier 2019.
Maison des Associations - Rue Guillaume Le Bartz  - 56000 Vannes.  Tél: 06.89.68.11.45.
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¡ FELIZ Y PRÓSPERO AÑO NUEVO !
¡ QUÉ 2019 OS TRAIGA FELICIDAD, SALUD, AMOR, Y MUCHOS MÁS !

OS INVITAMOS A CELEBRARLO EL VIERNES 11 EN EL "PALAIS
          HASTA PRONTO,
                         Melchor, Gaspar y Baltasar.
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EN LA COCINA DE LOS CURSOS 2 Y 3B:


Ce sont donc les pinches des cours 2 et 3 bis qui ont étrenné les fourneaux du Centre Social de Kercado cette année.

Comme toujours, la convivialité était au programme pour les 23 comensales dont beaucoup ont "puesto las manos en la masa".

Au menu, outre un éventail de tapas "para abrir boca", tortillitas de camarones" un plat traditionnel de Cadix, puis des "calamares rellenos" à la façon de Karlos Arguiñano dont nous sommes de sérieux adeptes (!), puis pour le postre, un dessert andalou, la "tarta de Fuengirola".
Les recettes sont disponibles sur simple demande.
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BLOC-NOTES ……

* COCINA du cours 4 vendredi 25 janvier. Inscriptions auprès d'Yvonne.
* STAGE FLAMENCO: le prochain stage aura lieu les 23 et 24 février au gymnase Brizeux dans les conditions habituelles.
* CONFÉRENCE de José Cavero "Gaudi, la révolution des formes" vendredi 29 mars à 18 heures à la maison des Associations.
* SÉJOUR LINGUISTIQUE Á SALAMANQUE: Nadia organise un nouveau séjour dans la ville du Tormes du 8 au 14 septembre avec le Colegio Tía Tula. Renseignements et inscriptions auprès de Nadia.
Notons que mardi 8 janvier à 16h30, ARTE nous "invitera au voyage" dont l'un des thèmes sera "Salamanque, la savante espagnole. Avec sa prestigieuse Université, Salamanque attire des étudiants du monde entier. Cette émulation intellectuelle débute dès le Moyen-Âge, avec la construction d'une cathédrale et d'une éole où sont enseignés le latin, la musique et le droit …"   
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ÉCHOS DE NOTRE ASSEMBLÉE GÉNÉRALE:
Il fait ce vendredi 23 novembre un temps d'automne mouillé et venteux … Pas de quoi décourager les vaillants alumnos et animateurs qui se retrouvent pour notre traditionnelle assemblée générale.
Nous avons investi  la grande salle de la Maison des Associations où nous nous sentons "bien chez nous". A l'entrée, Daniel fait émarger et distribue les pouvoirs. Nous serons 44 présents et 83 représentés: notons que les amis empêchés ont eu à cœur de déléguer.
Pour cette soirée de bilan, Pierre est à l'ordinateur afin de faire revivre l'année écoulée, tandis que Nicole et Anita présenteront les comptes. Pour nos effectifs, nous observons une constante: 200 adhérents en 2017-18, 201 à ce jour.
Place au montage diapo. Une première image rappelle l'objectif culturel de notre association, introduction qui ouvre bien à la diversité de Los Amigos.
Ensuite, quoi de mieux que des photos pour illustrer les temps forts vécus en 2017-18 ! Réactions amusées de ceux qui se reconnaissent …  et de leurs camarades !
Nous nous remémorons avec plaisir la fête de rentrée à la Maison de Quartier de Kercado, fête animée par nos danseuses et leurs musiciens, et notre chorale. En écho, la Fête de Reyes fut, elle aussi, très réussie et l'été arrivant, l'ambiance était joyeuse au Piano Barge.
                                             Lors des votes, une belle unanimité.
Citons aussi la rando de juin, un peu mouillée … et le pique-nique musical, ensoleillé, lui.

Parmi les autres temps forts de l'année, signalons notre participation au Mois du Doc, nos cinq cocinas, les stages flamenco salle Brizeux, les prestations de nos danseuses aussi bien au gala "Danses du Monde" qu'auprès des  personnes âgées, ainsi, à la Résidence Pasteur où à Orpea dans le cadre de la Semaine Bleue Nicole, Jeanne, Claire-Anne Marie-Annick et Clothilde ont assuré une animation chants et danses, tandis que   Marie-Claire et Pierre ont animé un atelier-gâteaux avec les résidents.
Il faut également mentionner une belle exposition de photos consacrées au flamenco, les rencontres avec les peintres Oscar Yana et Pedro Tassende aux Bigotes, deux conférences, l'une de José Cavero sur Salvador Dali, l'autre de François Ars qui a poursuivi l'évocation de l'Espagne des Bourbons.
Nous avons vu des photos de la "Partida de Diego" à Teruel ou Pierre était "pregonero" et "alistado de honor". D'autres de l'activité de nos amigos-hospitaleros à Logroño ainsi que le récit de l'expérience de Daniel à Navarrete dont il garde un excellent souvenir de ses séjours lesquels lui ont permis de renforcer son espagnol et rencontrer des pèlerins de 47 nationalités différentes.
Notre année 2018-2019 ?  Elle a déjà bien commencé car outre la reprise  des cours toujours attendue avec joie, les Amigos ont partagé une fête de rentrée chaleureuse, participé au Mois du Doc avec une belle programmation: un film de Carlos Saura sur Goya, film assez "sombre" et un autre, plus "léger" "Paco de Lucia, la légende". Un autre film "Chepito" sera présenté en présence de son réalisateur qui animera un débat. Nos danseuses accompagnées par Phylou ont participé au gala "Danses du Monde"  et un stage est prévu le premier weekend de décembre...
Notre chorale n'est pas en reste: Christine a postulé pour une participation à la prochaine "Semaine de la Voix" et Pierre fait part de la proposition d'une chorale amie de nous associer au final du "Canto General" qui doit être donné à Vannes l'an prochain.
Enfin, deux conférences seront données, l'une par José Cavero sur Gaudi, l'autre sur le thème "Galice, une autre Bretagne"  en prélude à l'année de la Galice au Festival Interceltique.
Après ce large panorama, Pierre laisse la parole à l'assemblée. Est d'abord évoquée l'organisation des cours par quinzaine instaurée par Yvonne et Nicole afin de répondre au problème d'un effectif important. Daniel, du cours de Nicole, signale une initiative intéressante: la semaine sans cours, trouver un lieu pour se réunir et converser. L'idée est excellente et Nicole qui rappelle la nécessité du dédoublement, est heureuse de voir ses alumnos prendre une telle initiative.
C'est également le moment de présenter Alba, une jeune femme originaire de Huelva, qui a accepté d'animer un groupe de conversation d'une heure chaque semaine au centre social de Kercado pour une quinzaine de participants.
Pour l'avenir, plusieurs intervenants remarquent que plusieurs alumnos seraient capables de devenir animateurs à leur tour mais l'engagement sur une longue période n'est pas toujours facile à assumer.
Le rapport d'activité est mis aux voix et approuvé à l'unanimité. Et l'enthousiasme que chacun met à l'approuver, témoigne bien de la reconnaissance des adhérents à l'égard de toutes celles et ceux qui font vivre notre association.
Ensuite, Nicole et Anita distribuent un récapitulatif de nos comptes et répondent aux questions sur notre rapport financier en rappelant que comme chaque année, ceux-ci ont été vérifiés et validés par notre expert-comptable, Philippe Vandame. Le bilan, mis aux voix est également approuvé à l'unanimité.
On aborde ensuite le budget prévisionnel et le problème des salles. En juin dernier, le Conseil Municipal a adopté une nouvelle réglementation concernant la mise à disposition des salles municipales pour les associations. Un quota de 550 heures gratuites par an a été institué. Au-delà, les heures seront facturées 10,20 €. Or nos besoins excèderont probablement ce quota de 44 heures ce qui conduirait à un surcout de 440 euros, supérieur au moment que nous réglions auparavant ! Rappelons que la subvention municipale s'élève à 330 euros. Par ailleurs, l'utilisation de la cuisine
pédagogique du centre social de Kercado pour nos cocinas subira une légère augmentation, seules les heures de préparation seront facturées au taux de 13 € l'heure soit 26 € par séance.
Afin d'équilibrer notre budget, le Conseil d'Administration propose quelques augmentations:
- pour la cocina, passer de 11 à 12 euros par participant,
- pour la Fête des Rois, demander une participation de 7 euros au lieu de 5,
- concernant les adhésions, pour la saison prochaine, passer de 35 à 40 euros (70 € pour les couples).
Après quelques échanges, ces propositions sont soumises au vote et acceptées à l'unanimité.
Reste alors à revoir la composition du Conseil d'Administration. Joëlle Ansquer et Marie-Thérèse Lagrée, sortantes, acceptent de se représenter. Il n'y a pas d'autre candidature: Joëlle et Marie-Thérèse sont réélues.
La soirée s'achève, bien sûr, par une sympathique copita.
Bon vent à Los Amigos de España et, une fois encore, un chaleureux merci à toutes celles et ceux qui illustrent la valeur inestimable du bénévolat dans l'engagement associatif.
                                                                                       Una amiga muy fiel: Marie-Thérèse Lagrée.
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LLANES DE LOS INDIANOS

Si pasáis por el Noroeste de Asturias, en la zona de Llanes, quizás veáis casas enormes, muy ostentosas de estilo cubano...Son las Casas de Indianos...
Los Indianos... ¿Quiénes eran?  Colonos españoles que marcharon a América en busca de fortuna.
   Para entender el fenómeno, hay que visitar un lugar muy informativo: El museo de la emigración y sede de la Fundación de los Archivos de Indianos, situado en Colombres (cerca de Llanes) donde se agrupan las memorias, el Archivo de Indianos.

Era un palacio, la Quinta de Guadalupe ( Foto: htpps://guiadeasturias.com ) de estilo cubano-mexicano que se hizo construir Iñigo NORIEGA, “un comerciante atrevido asturiano (nacido en Colombres)” que hizo fortuna en México y hoy convertido en el Museo de la Emigración.
Muchas "otras viviendas coloniales salpican" las calles de Llanes, Oviedo, Gijón, Ribadesella y otros pueblos de esta parte de Asturias. También el fenómeno existía en otros sitios de España como la costa cantábrica, gallega y catalana. Muchos emigrantes decidieron ir a ultramar.
Hablamos de emigración: el boom tuvo lugar entre 1880 y 1959: millones de españoles se escaparon al Nuevo Mundo para hacer oro.  Estaban huyendo de la pobreza, del vivir muy sencillo que solo permitía El Principado de Asturias a aquella época.
Unos de los emigrantes volvieron muy ricos y con el dinero acumulado, “se convirtieron en grandes   mecenas arquitectónicos”: desarrollaron sus propiedades privadas o “participaron en el movimiento económico de la región con el envío de remesas de dinero”.
En los pueblos, y ciudades se ha visto la rehabilitación o la construcción de numerosas obras públicas como escuelas, acequias para llevar agua, carreteras provinciales, puentes, alumbrado eléctrico, monumentos como iglesias, teatros y en primer lugar “construcción de centros docentes; todos sabemos que la educación es la primera herramienta contra la miseria”.
FRACASO: ¡Pero, no todos volvieron con dinero! La mayoría de ellos se quedaron igual o peor que antes. “Apenas 3% llegó a cumplir los sueños económicos que tenían en la hora de la partida”. Los indianos que volvieron sin nada fueron llamados: “Indianos del Pote” o de la “Maleta al Agua”.
HERENCIA: Ahora la mayoría de estos enormes edificios son edificios públicos como bancos, ayuntamientos, casinos o hoteles de prestigio.
Pero, las casas privadas no son todas rehabilitadas por cuestión de dinero naturalmente porque si unos de los palacios fueron edificados con material de calidad, otros fueron edificados con material bastante pobre (¡ Lo importante era de parecer rico!). Y no vale la pena restaurarlos…
   En Llanes, me gustan estos palacios muy bien rehabilitados con colores vivos que dan una identidad a la ciudad; pero es una pena encontrar a los que ahora están en ruinas. Sería mejor destruirlos; pero, como son considerados Patrimonio nacional no es posible y contribuyen a la fealdad del lugar.
                                                                  Joëlle Denis-Foucher.
            Fuentes: artículo del periodista Javier Ramos en el sitio “el comercio.es y las charlas con los amigos Llaniscos 
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IL Y A 80 ANS: LA RETIRADA.

Il y a 80 ans, la guerre d'Espagne touchait à sa fin. Les troupes franquistes largement aidées par l'Allemagne hitlérienne et l'Italie de Mussolini, allaient prendre Barcelone et venir à bout de la République espagnole au prix de massacres, lesquels allaient se poursuivre longtemps après la victoire des "nationalistes".
Plus de 500.000 personnes, militants républicains mais aussi de simples gens non engagés personnellement, allaient fuir devant la répression aveugle des vainqueurs. Ils seront dans un premier temps parqués dans des conditions immondes sur les plages méditerranéennes, dont Argeles, avant d'être disséminés un peu partout en France dont 300 à Vannes, essentiellement des femmes et des enfants, hébergés dans l'ancien hôpital de la rue de la Loi (le site a depuis été détruit et a fait place à la faculté de Droit, aujourd'hui Ty ar Vro).
En septembre 1939, ils en ont été chassés car il fallait faire place à de nouveaux réfugiés, belges et habitants du nord de la France. La seconde guerre mondiale venait de commencer …. C'était il y a (seulement) 80 ans ….
Beaucoup furent intégrés de force aux "Compagnies de Travailleurs Etrangers" et livrés à l'organisation Todt, affectés notamment à la construction du Mur de l'Atlantique dont la base de Lorient. Mais beaucoup choisirent d'intégrer la Résistance.
Vous pouvez retrouver la relation de leur séjour, la solidarité mais aussi l'hostilité qui leur a été manifestée sur notre site: https://sites.google.com/site/espagnolsenbretagne19371939/

Étant à Barcelone lors des fêtes de Noël, j'ai pu visiter dans le quartier du Born un ancien marché couvert reconverti en centre culturel où la Mairie de Barcelone présente jusqu'au 31 mars 2019  une exposition sur les bombardements italiens de mars 1938, vus à travers le regard des enfants. Difficile de rester insensible. En voici une brève présentation.
                                                                                                                                            Pierre Joubin.

La infancia bajo las bombas de la Guerra Civil en una exposición en El Born:

La exposición “Una infancia bajo las bombas” se suma a los otros actos de memoria de los
bombardeos intensivos que la aviación fascista efectuó sobre la población civil barcelonesa entre el 16 y el 18 de marzo de 1938, ahora hace 80 años. La particularidad de esta instalación, que se puede visitar en El Born hasta el 31 de marzo de 2019, es que recrea la mirada, llena de miedos e inquietudes, de los niños y niñas de la ciudad sobre aquel triste episodio de la historia reciente.
La muestra, propone reflexionar sobre los efectos de la guerra a partir del recuerdo y de la experiencia de niños que sobrevivieron a aquellas jornadas tan traumáticas y se estructura en tres grandes bloques:
·         Uno de contexto, que evoca la Barcelona de 1938 y explica la estrategia nunca antes utilizada de usar los bombardeos para atemorizar a la población civil.
·         Una recopilación de dibujos de los niños y las niñas que sobrevivieron a los ataques mediante los cuales expresaban las inquietudes, los miedos y las vivencias provocados por la guerra.
·         Una instalación artística que incluye obras de Josep Guinovart, testigo presencial de aquel momento histórico, y también la obra interactiva Área de seguridad, de Xavier Bové, e imágenes de los fotógrafos Anna Surinyach, Àngel García, Pau Coll, Edu Ponces y Toni Arnau.
La exposición va acompañada de un programa de actividades paralelas que incluye un ciclo de cine centrado en la visión de la infancia sobre la guerra, diferentes espectáculos teatrales para toda la familia, actividades educativas para grupos y centros escolares y un ciclo de charlas.
Barcelona, banco de pruebas de la maquinaria bélica fascista:
Desde las diez y cuarto de la noche del día 16 de marzo de 1938 y durante casi 41 horas consecutivas, cayeron sobre la ciudad 45.000 kilos de bombas de los aviones de la aviación fascista italiana. Las bombas causaron 551 víctimas mortales y 1.151 heridos, además de destruir totalmente 76 edificios y causar daños graves en un centenar más.
Fue el primer gran bombardeo sobre población civil indefensa de la historia, una actuación que, posteriormente y ya durante la Segunda Guerra Mundial, se repitió en diferentes ciudades europeas.
Unos meses antes se había producido la masacre infantil de la escuela de la plaza de Sant Felip Neri, en la que perdieron la vida 153 personas, 50 de las cuales eran niños.
                                Fuente y saber más: https://ajuntament.barcelona.cat/
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